𝕁𝕠𝕛𝕠 𝕄𝕠𝕪𝕖𝕤 - ℙ𝕒𝕣𝕚𝕤 𝕖𝕤𝕥 à 𝕟𝕠𝕦𝕤

Il s'agit d'un recueil de nouvelles romancées dont la principale action se situe... A Paris 🗼. 

A coup d'une nouvelle, ou d'un chapitre (certaines nouvelles sont assez longues) un soir de temps en temps , j'arrive au bout sans grande passion mais la lecture est assez facile.

Un livre de chevet, comme pour les enfants, où on lit 10 pages avant de dormir. Une lecture qui sortira vite de mon esprit.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝕁𝕠ë𝕝 𝔻𝕚𝕔𝕜𝕖𝕣 - 𝕃'𝔼𝕟𝕚𝕘𝕞𝕖 𝕕𝕖 𝕝𝕒 𝕔𝕙𝕒𝕞𝕓𝕣𝕖 𝟞𝟚𝟚

{Parution aux Éditions De Fallois le 27/05/2020}

Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.

Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.

Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?

Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça. 

J'ai vu beaucoup d'avis négatifs passer... Je me suis lancée dans ma lecture avec une légère appréhension.

J'ai envie de garder le mystère et de vous en dire peu... Alors je me contenterai d'un seul mot, bien choisi : MAGISTRAL. Je pense que ce seul mot peut vous donner envie de vous lancer.

Je dois malgré tout vous préciser que j'ai retrouvé quelques longueurs à la fin mais rien d'alarmant, tout s'est parfaitement mis en place.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝓥𝓪𝓵𝓮𝓻𝓲𝓸 𝓥𝓪𝓻𝓮𝓼𝓲 - 𝓛𝓮𝓼 𝓶𝓪𝓲𝓷𝓼 𝓿𝓲𝓭𝓮𝓼

La chaleur humide et gluante du mois d'août à Parme reflète la situation du commissaire Soneri, aux prises avec une affaire poisseuse. Francesco Galluzzo, un marchand du centre, a été battu à mort dans sa maison par des agresseurs inconnus. Le vol semble un motif évident, mais les premières investigations pointent plutôt vers une " leçon " qui s'est mal terminée. D'autres recherches conduisent le commissaire à un usurier connu, Gerlanda, à qui la victime devait de l'argent. Mais la vérité a mille visages, et Soneri trébuche bientôt sur une piste qui sent la cocaïne. Peu à peu, le policier réalise que la mort de Galluzzo ne représente qu'un détail, un détail presque insignifiant dans une image plus grande où la vraie victime est la ville elle-même. Un nouveau type de criminels, déguisés en sociétés financières et immobilières irréprochables, a remplacé la vieille garde, composée de gars comme Gerlanda, tout juste bon, désormais, pour la retraite. Avec amertume, Soneri ne peut que constater que sa chère ville de Parme s'est perdue : elle a remplacé Dieu par Mammon, idole toute-puissante qui ne vit que pour l'instant présent, et ne refuse pas quelques sacrifices... humains ?

Voici donc le deuxième polar que je lis dans le cadre du Jury du Meilleur Polar Points. Je ne connaissais pas l'auteur et je n'avais pas d'attente particulière.

Le polar me laisse de marbre. Je l'ai lu sans grande passion ni pour l'enquête, ni pour les personnages, peut-être trop nombreux...

Malgré tout, je l'ai lu assez rapidement, les chapitres sont courts et il y a peu de pages. 

Certains termes me semblent surannés, je ne sais pas si le problème vient de la traduction ou de l'écriture de l'auteur (traduction italienne) . 

Je n'arrive pas à m'attacher à Soneri et je passe complètement à côté de l'intrigue. Bref, je ne suis pas convaincue... 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

ᴋᴀʀɪɴᴇ ʟᴀᴍʙᴇʀᴛ - ʟᴇꜱ ʜᴏᴍᴍᴇꜱ ᴀᴜꜱꜱɪ ᴏɴᴛ ʟᴀ ᴄʜᴀɪʀ ᴅᴇ ᴘᴏᴜʟᴇ

{Parution chez Storylab le 5 mars 2020}

Je remercie l'auteure pour son envoi. 

"Le spleen n'est plus à la mode, c'est pas compliqué d'être heureux

Le spleen n'est plus à la mode, c'est pas compliqué

Le spleen n'est plus à la mode, c'est pas compliqué d'être heureux

C'est simple, sois juste heureux, si tu l'voulais, tu le s'rais" 

Max, Paul, Simon, Théo et Fabrizio ont un point commun : il viennent de se faire larguer. Max étant resté dans sa vieille école réhabilitée en chambre d'hôtes, il accueillera un à un ces messieurs. Tous différents, ils apprennent à s'apprivoiser et à vivre ensemble. De situations rocambolesques en petites catastrophes, une cohabitation qui se passera plus ou moins bien. Bien que fragilisés par leurs ruptures respectives, ils ne comptent pas abandonner l'idée de trouver l'amour. 

J'aime beaucoup cette auteure que je retrouve avec beaucoup de joie à travers ce roman qui fait écho à "L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes". 

Je retrouve à nouveau l'écriture fluide, légère, douce, tendre et drôle de l'auteure. Ce petit roman se lit très vite et est idéal pour passer un moment en charmante compagnie cet été ! 

Les personnages ont tous des histoires différentes ; Max est amoureux de Louise depuis qu'ils ont 10 ans, Paul est marié mais passe de conquête en conquête,... Bref, tous différents donc mais tellement attachants. 

Un joyeux bazar dans ce "Home sweet Hommes" qui vous fera sourire. A lire sous un air de "Tout oublier" d'Angèle. 

À bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝒁𝒐é 𝑩𝒓𝒊𝒔𝒃𝒚 - 𝑳𝒆 𝒔𝒚𝒏𝒅𝒓𝒐𝒎𝒆 𝒅𝒆 𝒍'𝒉𝒊𝒑𝒑𝒐𝒄𝒂𝒎𝒑𝒆

{Parution le 3 juin 2020} 

Je remercie les Éditions Mazarine pour l'envoi ainsi que l'auteure pour sa jolie dédicace. 

Bienvenue au Danemark avec Brune et Justine.

A 35 ans, Brune, paradoxal comme prénom pour une blondinette, a une réelle envie d'enfant. Brune est célibataire et ne trouve pas le parfait père pour son futur enfant.

Elle embarque donc sa meilleure amie, Justine, végane militante écolo, au Danemark, dans une clinique où il est possible de choisir le donneur sur catalogue.

Arrivées sur place, elles rencontrent Gunnar un Danois à l'accent belge qui les aidera à s'acclimater. Et pas que... 

Je ne suis pas une grande adepte des sujets qui tournent autour de la maternité et du désir d'enfants MAIS tout dépend de la manière dont le roman est exploité... Mais la couverture m'attire avant tout, je ne résiste pas. Je me retrouve ici dans un roman léger et pétillant et je valide ! 

Les personnages rencontrés sont attachants et j'ai un coup de cœur pour Justine. Outre cette histoire de prénom, qui n'y est pour rien, nous avons quelques points communs et elle me plaît beaucoup ( I've had time of my life 🎶) - Une histoire de Karma me disait Zoé.

J'aime beaucoup ce voyage danois où Justine et Brune vont vivre de véritables situations rocambolesques. Je me suis éclatée à lire ce livre et à suivre leurs aventures toutes plus dingues les unes que les autres. 

L'écriture est fluide, les chapitres sont courts. Une comédie rafraîchissante à lire sous l'air de Bill Medley & Jennifer Warnes ou encore de Cindy Lauper.

Ps : je suis ravie de ne pas être un castor...

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝔾𝕒ë𝕝𝕝𝕖 ℙ𝕚𝕟𝕘𝕒𝕦𝕝𝕥 - 𝕃𝕖𝕤 𝕔œ𝕦𝕣𝕤 𝕚𝕞𝕡𝕒𝕣𝕗𝕒𝕚𝕥𝕤

{ Parution le 19 mars 2020}

Je remercie les Éditions Eyrolles pour l'envoi. 

Barbara, la cinquantaine est sommée de prendre en charge sa mère frappée de sénilité. Elle refuse, ayant peu d'affection pour cette mère qui ne l'a jamais aimée; elle veut pouvoir vivre sa vie d'universitaire extravagante et libre. Cependant, la nouvelle la touche plus qu'elle n'est prête à la dire, modifiant sa relation à ses amants, à ses étudiants, et même à la lecture, son plus grand plaisir.

Dans le même temps, Charles Bodier, médecin fantasque et désabusé de l'EHPAD où est hospitalisée la mère de Barbara, refuse de baisser les bras face à son apparente froideur: il la poursuit de messages décalés, jusqu'à établir le contact.

Barbara va découvrir le secret de cette mère distante, et Charles finir par s'avouer la souffrance qui se cache derrière son excentricité. A l'image de Lise, aide-soignante humaine et dévouée, ils vont ainsi apprendre tous les deux que le soin de soi passe par le soin de l'autre, et réciproquement. 

Je suis assez mitigée par cette lecture. Pas mal de choses me laissent perplexes...

Je commencerai par les personnages. Je ne parviens pas du tout à m'attacher à Barbara que je trouve assez froide, même si c'est assez compréhensible vu le passif de la dame. Pas mieux pour la mère de Barbara, Rose, que je trouve antipathique et pour qui je n'arrive pas à avoir d'empathie. Je ne connais que trop la bipolarité mais peut-elle justifier tous les comportements ? Charles et son histoire sont assez banales. Suzanne, la tante de Barbara, trop peu présente pour avoir le temps de sympathiser.  Il n'y a que Lise, l'aide-soignante, à qui j'arrive à m'attacher. Elle met de la lumière dans le roman.

Concernant le récit, la relation mère-fille conflictuelle ne me passionne pas spécialement. Barbara a vécu une véritable maltraitance psychologique due à la bipolarité de sa mère durant son enfance. Le récit est donc divisé entre le présent où Barbara est adulte et sa mère est en EHPAD atteinte d'Alzheimer et les souvenirs de Rose et Barbara.

Le livre a, par contre, le mérite de mettre en avant les difficultés du personnel soignant dans certaines institutions.

Je trouve le livre assez fade et je le lis sans émotions. L'écriture manque, pour moi, de sensibilité et d'émotions. Je ne suis pas convaincue.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝓡𝓪𝓰𝓷𝓪𝓻 𝓙𝓸𝓷𝓪𝓼𝓼𝓸𝓷 - 𝓛𝓪 𝓭𝓪𝓶𝓮 𝓭𝓮 𝓡𝓮𝔂𝓴𝓳𝓪𝓿𝓲𝓴

⚫ 𝑷𝒓𝒊𝒙 𝒅𝒖 𝑴𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒓 𝑷𝒐𝒍𝒂𝒓 𝑷𝒐𝒊𝒏𝒕𝒔 ⚫

 

A 64 ans, Hulda est une enquêtrice hors pair de Reykjavik. Cependant, sa direction lui fait gentiment comprendre que l'heure de la pension a sonné. Toutes ses affaires sont distribuées et, en attendant le départ, elle peut piocher une affaire dans celles non résolues. La retraite lui fait peur, elle se jette corps et âme dans l'enquête sur la mort d'Elena, une jeune réfugiée russe. La première enquête a conclu à un suicide mais Hulda n'est pas convaincue. 

Je commence mes lectures du prix du Meilleur Polar avec ce livre qui, je vous l'avoue été déjà dans ma PAL. J'en profite également pour découvrir cet auteur. 

L'enquête d'Hulda se passe en 3 jours. L'histoire d'Hulda se mélange à son enquête. Je dirai même que le récit d'Hulda prend le dessus sur le reste.

Je m'attache à cette enquêtrice, au cœur fragile et la vie sinueuse. Elle est touchante et admirable. 

L'écriture est fluide et rythmée et les chapitres sont courts. 

J'ai lu ce polar d'une traite et l'intrigue me plaît énormément. Par contre, je suis un peu plus septique sur les dernières pages et je préfère m'imaginer que la fin est ouverte...

J'ai passé un très bon moment dans les paysages islandais, je vous recommande cette lecture.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee 

𝑴𝒂𝒓𝒊𝒐𝒏 𝑴𝒄𝑮𝒖𝒊𝒏𝒏𝒆𝒔𝒔 - 𝑼𝒏𝒆 𝒃𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒆𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒎𝒂𝒖𝒗𝒂𝒊𝒔𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆

{Parution le 28 mai 2020}

Je remercie les Éditions Eyrolles pour l'envoi.

Clotilde a presque 30 ans et vit avec ses deux chats dans un petit village de Normandie. Son boulot ? Annoncer des mauvaises nouvelles.

Clotilde est née sous X, elle a un prénom qu'elle déteste et collectionne les objets trouvés. Dans son petit village, elle a son amie proche Sarah. Le problème de Sarah c'est son frère jumeau, Ben, le grand amour de Clotilde qui l'a abandonnée il y a 12 ans.

Clotilde mène sa petite vie tranquille jusqu'au jour où le notaire du village doit lui annoncer une bonne et une mauvaise nouvelle : Sa mère biologique est décédée et lui laisse un petit frère de 8 ans dont elle devra s'occuper. Alors bonne ou mauvaise nouvelle ?

Et puis, puisqu'un malheur n'arrive jamais seul, ben pourrait bien réapparaître. 

J'aime beaucoup le récit. Je trouve l'idée originale et peu banale. Ce petit frère qui débarque et qui s'installe dans le quotidien bien huilé de Clotilde et la manière dont elle l'accueille, je trouve cela assez touchant. Quel courage, cette Clotilde, d'accueillir ce petit garçon sans beaucoup hésiter. Elle qui a vécu en foyer, ne laissera pas ce petit garçon vivre ce qu'elle-même a vécu. 

C'est fluide et facile à lire. Je trouve juste la fin un peu longue, on tourne un peu en rond. 

Les personnages sont attachants même si Clotilde peut parfois être agaçante avec son trop plein de sentiments mais elle reste attachante. 

Une histoire de reconstruction possible grace à beaucoup d'amour. 

C'est une lecture très agréable que je vous conseille et avec laquelle j'ai passé un bon moment. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝔹𝕖𝕣𝕟𝕒𝕣𝕕 𝕄𝕚𝕟𝕚𝕖𝕣 - 𝕃𝕒 𝕍𝕒𝕝𝕝é𝕖

{Parution le 20 mai 2020} 

Je remercie les Éditions  XO pour cet envoi. 

« Je crois que quelqu’un est en train d’agir comme s’il se prenait pour Dieu… »

Un appel au secours au milieu de la nuit

Une vallée coupée du monde

Une abbaye pleine de secrets

Une forêt mystérieuse

Une série de meurtres épouvantables

Une population terrifiée qui veut se faire justice

Un corbeau qui accuse

Une communauté au bord du chaos

Une nouvelle enquête de Martin Servaz

Je découvre, pour ma part, l'auteur et son personnage Martin Servaz.

Je le savais dès le départ et j'en men doutais, il serait fait référence à des événements d'ouvrages précédents de l'auteur. Mais je ne pensais pas qu'il y aurait autant de retours en arrière. Je me perds parfois, c'est déroutant. Soit, je passe au dessus de ce détail très peu dérangeant au final.

L'histoire tient la route, c'est un bon polar, rempli de rebondissements. L'auteur ne laisse pas de répit au lecteur. Lorsqu'on croit arriver au bout, l'auteur arrive encore à nous surprendre. C'est assez fluide et le rythme est très soutenu. Dans ce polar de plus de 500 pages, je n'ai pas eu l'impression d'avoir de temps morts. 

Au niveau du décor, on n'est pas mal, cette petite vallée des Pyrénées est une bouffée d'air frais même si l'atmosphère peut parfois y être oppressante et angoissante. 

Malgré une bonne intrigue, je ne suis pas passionnée. J'ai l'impression de ne pas avoir lu ce livre au bon moment et d'avoir flotté au-dessus de ma lecture plutôt que d'être allée me perdre dans la vallée. Un acte manqué je pense.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee 

David Zaoui - Le financier en chef

{Parution le 17/06/2020} 

Je remercie les Éditions JCLattès pour l'envoi. 

Quel joli jeu de mots ce titre, que vous comprendrez en lisant ce livre !

Jackson a un rêve : devenir cinéaste. Depuis ses 13 ans, il écrit des scénarios dont les acteurs sont principalement les jeunes de son quartier.

Jackson persévère mais ne perce pas...

Après l'avoir encouragé, sa famille le pousse à trouver un vrai travail mais Jackson n'a pas de qualification. A coup de bidouillage de CV, il trouve un emploi de directeur financier. Mais il se pourrait bien qu'il soit plus doué en cuisine que dans les finances et qu'il aller investir plus la cuisine de la cantine que son bureau.

Quel doux rêveur ce Jackson. C'est un personnage assez loufoque et original. Il n'a pas vraiment les pieds sur terre et a plutôt la tête dans les nuages. C'en fait un personnage attachant.

Les situations sont assez cocasses et certaines choses semblent assez surréalistes. C'est parfois tellement gros ! C'en est drôle.

L'écriture est assez fluide et ce petit livre se lit assez rapidement. Le language est assez familier. 

C'est plein d'humour et de tendresse. J'ai passé un moment assez plaisant. Et je crois avoir pris quelques kilos littéraires après ma lecture gourmande.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee