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vendredi 24 avril 2020

𝑴𝒊𝒄𝒉𝒆𝒍 𝑩𝒖𝒔𝒔𝒊 - 𝑻𝒐𝒖𝒕 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒖𝒓 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒅𝒐𝒊𝒕 𝒑é𝒓𝒊𝒓




Une masse sombre, inexpliquée, prise dans les glaces millénaires du mont Ararat.
Un livre interdit, gardé sous clé dans l'enfer du Vatican.
Un animal de bois, énigmatique, portant au front une corne unique.
Les indices sont là, éparpillés. Un gigantesque puzzle à reconstituer pour remonter à l'origine de toutes les religions du monde.
De Bordeaux à Hong Kong, en passant par l'Arménie, Zak Ikabi n'a qu'une obsession : en réunir toutes les pièces. Et trouver ainsi l'arche de Noé.
Embarquée malgré elle dans sa quête, la glaciologue Cécile Serval, aussi érudite que volcanique, se voit bientôt confrontée à un véritable déluge de questions. Et de balles de kalachnikovs...
Car pour garder ce secret, certains sont prêts à tous les sacrifices....


C'était une des missions du confinement, sortir cette brique de ma PAL pour la rendre à son propriétaire dès cette période terminée. 
Mission réussie ! 

J'aime beaucoup l'avant-propos de l'auteur. J'aime l'histoire du livre. Pas le récit, mais bien ce que l'auteur a à nous dire du livre. Il nous explique comment est né ce livre et surtout et nous précise bien que ,oui, ce livre est bien différent de ses précédents ouvrages. 

L'avant-propos, c'est ce que j'ai préféré... Il m'a fallu 200 pages pour entrer dans le récit. Heureusement, il en fait plus de 770. Après ces 200 pages, j'arrive à apprécier l'histoire mais sans être passionnée et puis finalement, c'est devenu long. C'est bien mon problème. Les pavés, selon moi, contiennent souvent des longueurs. C'est ce qui me pose en général problème avec un bouquin de plus de 550/600 pages. 

Je vous conseille donc de vous faire votre propre avis.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

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