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samedi 25 juillet 2020

𝓥𝓪𝓵𝓮𝓻𝓲𝓸 𝓥𝓪𝓻𝓮𝓼𝓲 - 𝓛𝓮𝓼 𝓶𝓪𝓲𝓷𝓼 𝓿𝓲𝓭𝓮𝓼




La chaleur humide et gluante du mois d'août à Parme reflète la situation du commissaire Soneri, aux prises avec une affaire poisseuse. Francesco Galluzzo, un marchand du centre, a été battu à mort dans sa maison par des agresseurs inconnus. Le vol semble un motif évident, mais les premières investigations pointent plutôt vers une " leçon " qui s'est mal terminée. D'autres recherches conduisent le commissaire à un usurier connu, Gerlanda, à qui la victime devait de l'argent. Mais la vérité a mille visages, et Soneri trébuche bientôt sur une piste qui sent la cocaïne. Peu à peu, le policier réalise que la mort de Galluzzo ne représente qu'un détail, un détail presque insignifiant dans une image plus grande où la vraie victime est la ville elle-même. Un nouveau type de criminels, déguisés en sociétés financières et immobilières irréprochables, a remplacé la vieille garde, composée de gars comme Gerlanda, tout juste bon, désormais, pour la retraite. Avec amertume, Soneri ne peut que constater que sa chère ville de Parme s'est perdue : elle a remplacé Dieu par Mammon, idole toute-puissante qui ne vit que pour l'instant présent, et ne refuse pas quelques sacrifices... humains ?

Voici donc le deuxième polar que je lis dans le cadre du Jury du Meilleur Polar Points. Je ne connaissais pas l'auteur et je n'avais pas d'attente particulière.
Le polar me laisse de marbre. Je l'ai lu sans grande passion ni pour l'enquête, ni pour les personnages, peut-être trop nombreux...

Malgré tout, je l'ai lu assez rapidement, les chapitres sont courts et il y a peu de pages. 
Certains termes me semblent surannés, je ne sais pas si le problème vient de la traduction ou de l'écriture de l'auteur (traduction italienne) . 

Je n'arrive pas à m'attacher à Soneri et je passe complètement à côté de l'intrigue. Bref, je ne suis pas convaincue... 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

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