{ Parution le 16 mars 2020}
Je remercie les Éditions Albin Michel pour cet envoi.
En fait, j’ai pris à la lettre le souhait d’un de vos anciens chefs d’Etat, le comédien Ronald Reagan. Le 21 septembre 1987, lors de la 42e assemblée générale des Nations unies, il a déclaré à la tribune :
« Avec les antagonismes du moment, nous oublions l’humanité. Peut-être avons-nous besoin d’un danger universel extérieur afin de pouvoir mettre ce lien en lumière. J’ai parfois pensé à quel point les différences s’évanouiraient rapidement, si nous avions affaire à une menace étrangère à la Terre ».
Embarquez dans ce conte philosophique, actuel plus que jamais, aux côtés de Lucas, sans-abri, qui, le 17 mars 2020, se retrouvera confiné dans une maison abandonnée avec ce qui ressemble à son premier amour. Imposture ou manipulation ? Qui est réellement cette femme ?
Etrange, fut mon premier sentiment. N’y voyez rien de négatif, loin de là. J’aime beaucoup.
Ce livre me permet de voir la pandémie et le confinement autrement, de pousser ma réflexion. Je sors de ma zone de confort.
Je n’aurais pas voulu que ce conte soit plus long ou même plus court. 170 pages, c’est ce qu’il fallait.
Je suis agréablement surprise par la chute ! Elle me plaît vraiment, l’auteur a visé juste.
Au départ un peu sceptique d’arriver dans un roman axé pandémie et confinement, je ressors de ma lecture ravie. Il se lit en une fois, sans temps mort.
Je vous conseille ce livre, j’ai passé un agréable moment parfois surréaliste !
À bientôt pour de nouvelles aventures livresques,
Djustinee
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