{Parution le 22 octobre 2020}
Je remercie les Éditions Hervé Chopin et Agnès pour cet envoi.
"Fin des années 1970, Argentine.
Il y a des portes qui doivent rester fermées...
Un jeune attaché à l'Institut français prend en stop un homme blessé dont il reçoit les confessions. Jorge Neuman, écrivain très populaire dans son pays alors sous la coupe d'une junte militaire, vient de vivre une tragédie. Sa fille, puis sa femme ont été enlevées par les hommes de Rafael Vidal, l'un des chefs de la police secrète.
Les années ont passé, Jorge Neuman a disparu à son tour, emporté par la mécanique sans faille de la dictature. Le jeune Français n'est plus si jeune, il est rentré à Paris.
Après avoir publié une biographie de Neuman, il décide de retrouver les traces du sinistre Vidal et de reconstruire la vie de l'écrivain disparu.
Confronté à des questions sans réponses, il comprend bientôt qu'enquêter dans le passé d'un homme, c'est forcer des portes qui méritaient de rester closes."
Je vous ai posé là la quatrième de couverture que je trouve très bien faite.
J'ai eu du mal à rentrer dans le récit et dans les faits historiques. C'est aux alentours de la page 70 que j'arrive à comprendre où l'auteur m'emmène.
On fait face à des atrocités dans ce livre. Fictives et historiques. L'atmosphère y est oppressante. On ne ressort pas de ce roman le cœur léger.
Je salue le travail de recherche de l'auteur. Je ne connaissais pas les faits historiques énoncés.
J'apprécie les différentes polices de caractère entre le récit, les témoignages et les feuillets de Neuman. Cela permet de savoir où on se situe et de donner une structure au récit.
Néanmoins, je ne suis pas passionnée par l'histoire mais je vous conseille de vous y plonger pour vous forger votre opinion.
A bientôt pour de nouvelles aventures,
Djustinee
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