Je vous laisse la quatrième de couverture :
"Début octobre, dans la banlieue de Copenhague, la police découvre le cadavre d’une femme amputée d’une main. À côté du corps, un petit bonhomme fabriqué à partir de marrons et d’allumettes.
Chargés de l’enquête, la jeune inspectrice Naia Thulin et l’inspecteur Mark Hess découvrent vite que cette figurine est porteuse de mystérieuses empreintes : celles de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte.
Thulin et Hess explorent toutes les pistes qui leur révèleraient un lien entre la disparition de la fille de la ministre et la victime à la main coupée. Lorsqu’une autre femme est tuée, selon le même mode opératoire, ils comprennent que le cauchemar ne fait que commencer..."
J'étais enthousiaste à l'idée de commencer cette brique de plus de 700 pages qui allait accompagner mon long week-end. J'ai vu beaucoup d'avis positifs et vous avez été nombreux à me pousser à le lire.
Je vais être franche, s'il ne m'avait pas été prêté, je ne l'aurais pas lu. De prime abord, je n'étais pas spécialement tentée par cette lecture.
J'ouvre ce thriller et l'intrigue me plaît d'emblée. Je suis happée. Les chapitres sont courts et me tiennent en haleine, le suspense est à son comble...
Je suis conquise et ravie d'avancer dans ma lecture... Jusqu'à la moitié. Tout devient trop long et je commence à m'essouffler. Ce que je redoute avec les pavés arrive... J'ai envie de passer à autre chose et j'ai l'impression de perdre mon temps. Je persévère bien entendu, c'est peut-être un passage à vide mais finalement, je continue à trouver ça trop long. Pour moi, le suspense n'est plus à son comble...
La chute aurait pu me surprendre mais cette seconde moitié beaucoup trop longue me déçoit et gâche tout.
Je suis donc déçue par ma lecture tout simplement.
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