Je remercie les Editions Hervé Chopin et Agnès pour cet envoi.
Bruxelles.
Une jeune femme est retrouvée morte dans son appartement.
Tuée par neuf coups de couteau.
Tout accuse Niko.
Niko se défend : « J’étais là, mais c’était pas moi ».
L’homme sera placé en hôpital psychiatrique.
Derrière cet homme fragile se cache un grand talent, le graphisme. Il est surnommé le Funambule, connu pour ses fresques qui font réagir sur les murs de Bruxelles.
Paul Colize vous fera voyager entre la Bruxelles actuelle et le conflit Yougoslave des années 90, au cœur du siège de Vukovar. Nous apprendrons qui est Niko, d’où il vient et comment il est arrivé jusqu’à nous. J’apprécie cette alternance dans le récit, sans fausse note.
Je suis ravie de retrouver l’auteur que j’avais découvert grâce à « Un jour comme les autres ». Je suis happée par l’intrigue dès les premières pages. Je dévore ce polar avec un grand besoin d’urgence. Le suspense y est prenant et est maintenu jusqu’aux dernières pages. L’écriture est fluide, les chapitres sont courts et les pages se tournent à grande vitesse.
J’aime cette intrigue parfaitement ficelée et j’aime également beaucoup ce décor. Peut-être avez-vous déjà entendu parler des fresques clandestines dessinées sur les murs bruxellois ? Les avez-vous vues ? Pour ma part, je passais quotidiennement devant l’une d’elles. Mon imagination n’a donc eu aucun mal à fonctionner…
Je m’attache beaucoup à Niko et à son histoire. j’aime beaucoup le duo de l’avocat, Maître Rivière et de la directrice de l’établissement psychiatrique.
Je vous conseille donc ce polar parfaitement ficelé. Vous passerez un bon moment.
A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,
Djustinee
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire