Je vous laisse la quatrième de couverture :
« Cornouailles, 1947. Comme tous les étés, le révérend Seddon rend visite au père Bott. Hélas, son ami n'a pas de temps à lui accorder cette année, car il doit écrire une oraison funèbre : l'hôtel de Pendizack, manoir donnant sur une paisible crique, vient de disparaître sous l'éboulement de la falaise qui le surplombait. Et avec lui, sept résidents...Dans cette maison reconvertie en hôtel par ses propriétaires désargentés étaient réunis les plus hétéroclites des vacanciers : une aristocrate égoïste, une écrivaine bohème et son chauffeur-secrétaire, un couple endeuillé, une veuve et ses trois fillettes miséreuses, un chanoine acariâtre et sa fille apeurée... Le temps d'une semaine au bord de la mer dans l'Angleterre de l'après-guerre, alors que les clans se forment et que les pires secrets sont révélés, les fissures de la falaise ne cessent de s'élargir...Auteure talentueuse et espiègle, Margaret Kennedy pousse à leur comble les travers de ses personnages dans une fable pleine d'esprit et de sagesse. Ce Festin est un régal ! »
Le roman est divisé en sept parties pour sept jours. L’ambiance me plait et je rencontre pléthore de personnages auxquels je dois m’habituer doucement mais surement.
Je dévore la première moitié du roman qui est un délicieux festin. Je m’immisce dans la vie des personnages je découvre les petits secrets des uns et des autres et je participe aux petits ragots.
Cependant, mon enthousiasme s’essouffle un peu à la moitié du roman. Je trouve que le temps devient un peu long. Je suis contente d’arriver à la chute (sans mauvais jeu de mot). C’est donc assez mitigée que je termine ce roman.
Néanmoins, je vous conseille cette lecture vous pourrez ainsi vous faire votre propre avis.
A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,
Djustinee
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