À Stockholm, alors qu’Efraim Kiel vient recruter un nouveau responsable de la sécurité pour la synagogue de Salomon, l’alarme se déclenche : une institutrice a été abattue devant une école juive, peu de temps avant que deux enfants disparaissent sur le chemin de leur cours de tennis. Crimes antisémites ? Vengeance personnelle ? Y aurait-il même un lien entre les crimes ? Alex Recht et Fredrika Bergman sont chargés de l’affaire, mais une tempête de neige a fait disparaître tout indice. Pendant ce temps, Eden Lundell, à la tête de l’unité antiterroriste de la police suédoise, mène sa propre enquête sur Efraim Kiel. Qui est ce Garçon de papier qui ne cesse d’apparaître durant les recherches ? Les enquêteurs seront amenés jusqu’en Israël pour déterminer s’il s’agit d’un simple mythe, ou d’une réalité…
Premier polar depuis quelques semaines. Cet été n'a pas été propice aux thrillers pour moi. Mais je reprends en beauté.
Je me retrouve donc en Suède sous la neige, en passant par Israël et Londres.
Ce roman de 600 pages est aéré grâce aux courts chapitres et à la mise en page de l'auteure. L'écriture est fluide et je tourne les pages, encore et encore avec pour seul but, d'arriver à la fin et de finalement connaître la chute.
Malgré une fin un peu longue pour arriver à la chute tant attendue, l'intrigue était magnifique orchestrée.
Je suis happée dès le départ par cette l'intrigue et le doute s'est immiscé aux premières pages. L'auteure a réussi à me faire prendre de fausses pistes, à me retourner le cerveau et à maintenir le suspense durant 600 pages. C'est donc un pari tenu pour ce thriller, pour moi il réuni toutes les conditions du parfait polar.
Je découvre donc cette auteure avec plaisir et je ne manquerai pas d'ouvrir d'autres de ses bouquins à l'avenir !
A bientôt pour de nouvelles aventures,
Djustinee
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