𝘒𝘢𝘵𝘩𝘳𝘺𝘯 𝘏𝘶𝘨𝘶𝘦𝘴 - 𝘚𝘢 𝘥𝘦𝘳𝘯𝘪è𝘳𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘮𝘦𝘴𝘴𝘦

{Parution le 24 juin 2020} 

Je remercie les Éditions Calmann-Levy pour l'envoi. 

Croyez à la promesse de l'amour...

Tara se sent seule après son divorce. Mais une lettre cachée dans un coffre va briser pour toujours sa solitude. Des mots inespérés qui dévoilent où est passée la mère de Tara, quarante ans après sa disparition.

De Manchester au sud de l’Espagne, un sublime voyage dans les émotions et le passé. Un roman incroyable et déchirant sur la façon dont l’espoir peut renaître grâce au pouvoir rédempteur de l’amour.

Quel bonheur de retrouver cette auteure que j'affectionne tant pour son quatrième roman.

A nouveau, je ne suis pas déçue par le récit ! Je suis happée et fascinée dès le départ.  J'aime beaucoup la construction du roman. Entre passé et présent, tout est parfaitement orchestré. 

Les personnages sont attachants, j'apprécie évoluer avec eux même s'ils sont nombreux. 

Je suis toujours conquise par la plume fluide et aiguisée de l'auteure.

Je vous conseille ce roman teinté d'amour et d'espoir.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee 

𝒀𝒂𝒂 𝑮𝒚𝒂𝒔𝒊 - 𝑺𝒖𝒃𝒍𝒊𝒎𝒆 𝑹𝒐𝒚𝒂𝒖𝒎𝒆

{Parution le 19/08/2020}

Je remercie les Éditions Calmann-Levy pour l'envoi de ce roman.  

Sublime couverture pour Sublime Royaume. 

Gifty est née en Amérique mais est d'origine ghanéenne. Elle sait à quel point c'est compliqué d'avoir la peau noire en Amérique. 

Gifty est une jeune neuroscientifique qui passe son temps avec ses souris de laboratoire pour ses recherches sur les addictions. 

Son petit monde va être bouleversé lorsqu'elle va devoir héberger sa mère fragile mentalement. L'occasion de revenir sur son enfance avec des flashbacks bien placés. On découvrira pourquoi et comment sa famille a explosé : un père absent, un frère fragile et une mère qui travaille trop ont fait le quotidien de cette petite fille. 

J'apprécie beaucoup Gifty et j'aime évoluer avec elle. 

Cependant, j'accroche moins avec la mère qui me semble être un tyran préférant son premier enfant à sa petite fille. Le père, quant à lui, me fait simplement penser à un pacha dont la présence n'est que décorative. 

J'aime beaucoup l'histoire de Gifty mais je dois émettre un petit bémol : la religion est fort présente dans la vie de Gifty et donc dans ce récit. La fin m'a donc paru un peu longue.

Pour ma part, je découvre la jolie plume de l'auteure. Elle me plaît beaucoup.

La construction du roman est parfaite. J'aime voguer dans les souvenirs d'enfance de Gifty qu'elle nous raconte avec beaucoup de clarté.

C'est un roman riche et fort tout comme les messages qui y véhiculent.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝑲𝒆𝒕𝒕𝒚 𝑹𝒐𝒖𝒇 - 𝑶𝒏 𝒏𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒄𝒉𝒆 𝒑𝒂𝒔

{Parution le 19 août 2020}

Je remercie les Éditions Albin Michel pour l'envoi de cei roman.

De mon côté, je commence cette rentrée littéraire par le premier roman de Ketty Rouf. Je suis attirée par ce titre qui fleure bon l'interdit et cette couverture sensuelle.

Joséphine a 35 ans et est professeur de philosophie dans un lycée. Sa vie est rythmée par la salle des profs, ses cours et le Xanax. 

Sa vie est morne, sa vie est triste. 

C'est en devenant Rose Lee, danseuse dans un club de strip-tease chaque soir, qu'elle découvre à nouveau son corps, qu'elle se réconcilie. Rose Lee mène alors une double vie. 

Entre talons aiguilles, paillettes et philosophie, suivez le récit de la libération d'une femme qui pourrait bien se brûler à force de trop jouer avec le feu. 

J'aime beaucoup Jo passionnée par la philosophie mais blasée par son métier devenu pesant à cause des carcans de l'enseignement. Jo se dévoile tout doucement, à la manière d'un effeuillage, au fur et à mesure de notre lecture. 

L'auteure, à travers son écriture fluide, nous transporte dans le quotidien de Jo en altérant entre sa vie diurne et sa vie nocturne. 

Un premier roman intense et captivant. Libéré et libérateur. Sans tabous ni faux-semblants. Un roman qui bouscule que je vous conseille. 

On commence cette rentrée littéraire en fanfare ! 

À bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝕃𝕚𝕟𝕕𝕒 𝔾𝕣𝕖𝕖𝕟 - ℚ𝕦𝕒𝕟𝕕 𝕛𝕖 𝕟𝕖 𝕤𝕖𝕣𝕒𝕚 𝕡𝕝𝕦𝕤 𝕝à

{Parution le 10 juin 2020} 

Je remercie les Éditions Préludes pour cet envoi. 

Depuis quelques jours, Jess Mount vit un véritable cauchemar. Son fil d’actualité Facebook semble totalement déréglé, et la transpose dans un futur où... elle n’existe plus. Elle serait vraisemblablement morte dans un accident. Mais avant cette fin tragique, elle se découvre un petit ami, un mariage, et même un bébé. Pourtant lorsque de nouveaux messages suggèrent qu’elle a été assassinée, le doute s’installe. Et s’il ne s’agissait pas d’une simple blague mais de son véritable destin ?

Jess comprend bientôt que si elle change l’avenir pour sauver sa vie, le bébé qu’elle a commencé à aimer n’existera peut-être jamais...

Me voilà plongée dans ce roman contemporain au suspense haletant en compagnie de Jess, cette jeune femme attachante prise dans un drôle d'engrenage. 

Je suis bouleversée par cette histoire totalement actuelle et j'ai parfois eu les larmes aux yeux. Je suis intriguée dès le départ et je suis sous tension. Je dois dire que je ne m'attendais pas à ça. J'ai du mal à lâcher ce bouquin et les pages se tournent à un rythme effréné. 

J'aime également beaucoup la disposition du roman ; entre présent et futur, messages privés et posts Facebook, entre le récit de Jess et celui de sa belle-mère. Toute cette construction et ce récit donnent une bonne touche d'originalité au roman. 

Je reste juste un peu sur ma faim par contre car je n'ai pas d'explications sur les phénomènes "extraordinaires" dont Jess est victime. 

Je ne qualifierai pas vraiment ce livre de thriller, néanmoins, je vous le conseille vivement. J'ai passé un excellent moment. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝘏𝘦𝘳𝘷é 𝘎𝘳𝘢𝘯𝘴𝘢𝘳𝘵 - 𝘓𝘢 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯

{Parution aux Éditions Spinelle le 06/06/19}

Je remercie l'auteur pour l'envoi du roman.

Marie et André, un couple de personnes âgées, vivent depuis toujours dans un petit village du Val de Loire. Ils y ont eu deux filles et ont leurs petites habitudes, en particulier celle de s’installer sur leur petit banc chaque jour.

Ils mènent leur vie paisiblement et tranquillement jusqu’au jour où André posera à Marie LA question… comment va-t-elle réagir ?

Ci-dessous, un extrait qui résume parfaitement le livre :

La question, elle, était facile, sans détour, sans fard. Une question simple pour une réponse directe. Oui ou non. Point. Rien d’astronomique. En apparence. En apparence seulement évidemment. C’était le moment fatidique. Juste le moment où la vérité apparaissait. Nue, révélée telle qu’elle s’est jouée. Cela demandait un effort sur soi, certes. Après tout, lui, cet homme, qui avait aimé passionnément cette femme, sa femme, ne pouvait-il pas, ne devait-il pas savoir ? 

Tout le récit tourne autour de cette question. L’idée, la trame ne sont pas mal. Cependant je trouve que la manière de disposer les dialogues alourdit le récit. L’auteur prend la peine de signaler qui parle et avec quelle humeur ou de quelle manière. Selon moi, les mots choisis ainsi que la ponctuation devraient suffire à donner le ton d’un dialogue.

C’est une petite lecture qui se lit rapidement, néanmoins, je l’ai lu sans grande passion. Je trouvais l’idée assez originale mais je trouve qu’on tourne beaucoup autour du sujet en exploitant énormément la vie de Marie et André alors qu’elle me semble assez banale.

Un rendez-vous à demi manqué pour ma part.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝓢𝓮𝓻𝓮𝓷𝓪 𝓖𝓲𝓾𝓵𝓲𝓪𝓷𝓸 - 𝓜𝓪𝓶𝓶𝓪 𝓜𝓪𝓻𝓲𝓪

 

{Parution le 05 mars 2020 chez Le Cherche Midi} 

Quel plaisir de retrouver l'auteure pour son second roman aux saveurs italiennes.

Installez-vous au bar de Maria, Le Mamma Maria, aux côtés de ses habitués et laissez vous porter par le chant des vagues méditerranéennes et la chaleur du soleil sur votre visage pendant que Sofia fait ses traductions et que Franco et ses amis jouent à la Scopa. 

J'ai l'impression d'être accueillie à bras ouverts dans ce village auprès de Maria, Sofia, Franco, Ugo,... Je m'y sens bien.

Je retrouve la plume légère, fluide, tendre et pleine d'humour de l'auteure.

J'aime beaucoup l'alternance entre Maria et Sofia et j'apprécie énormément les cartes postales de Sofia.

J'ai passé un agréable moment. J'ai envie d'une pizza, de mozzarella, d'un apéritif italien et même de parler avec les mains.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝑪𝒉𝒓𝒊𝒔𝒕𝒊𝒂𝒏 𝑮𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆𝒓𝒎𝒆 - 𝑼𝒓𝒃𝒆𝒙 𝑺𝒆𝒅 𝑳𝒆𝒙

{Parution le 18 juin 2020} 

Je remercie les Éditions Taurnada pour cet envoi. 

Dura Lex , Sed Lex. Dure est la loi mais c'est la loi. Urbex Sed Lex. Comprenez, la dure loi de l'urbex

Quatre amis pratiquant le Urbex reçoivent via les réseaux sociaux, une drôle d'invitation. Il leur suffit d'explorer un lieu défini par leur 'hôte' et de taguer une chose définie à un endroit décidé. Le tout contre une belle somme d'argent. 

Malheureusement, il se peut que tout ne se passe pas comme prévu...

{ Qu'est-ce que l'Urbex ? L’exploration urbaine, abrégé urbex (de l'anglais urban exploration), est une activité consistant à visiter des lieux construits et abandonnés par l'homme, mais cette pratique inclut également la visite de lieux interdits, cachés ou difficiles d'accès, tel que des tunnels de métro, des catacombes, des chantiers de constructions/rénovations et des rooftop (sommets d'immeubles, monuments...).} 

Encore une fois, c'est les yeux fermés que je me plonge dans un titre proposé par Joël en qui j'ai toute confiance. Le titre, parlons-en, tout à fait énigmatique dirais-je. 

Le contexte des Urbexeurs se pose doucement, ce qui n'est pas dérangeant. L'auteur prend le temps de nous expliquer cet univers particulier que je connais assez peu.

Peu à peu, je me retrouve dans un récit captivant, haletant et fluide. Les pages se tournent à grande vitesse, à la vitesse d'une chasse à l'homme à vrai dire.

Le récit est sans fausse note, bien ficelé et terrifiant. Je suis convaincue par ce très court thriller. Efficace...  

Je suis, par contre, un peu moins convaincue par les personnages. Deux couples que je trouve avec mièvres. Une fausse note dans ce thriller pour moi. 

A bientôt pour de nouvelles aventures, 

Djustinee

𝑶𝒍𝒊𝒗𝒊𝒆𝒓 𝑺𝒐𝒓𝒊𝒏 - 𝑳𝒆 𝒏𝒐𝒎𝒃𝒓𝒊𝒍 𝒅𝒆 𝑺𝒐𝒍𝒗𝒆𝒊𝒈

{Parution le 25 février 2020 aux Éditions Des Lacs} 

Je remercie l'auteur pour l'envoi de son roman. 

Standor a rencontré Solveig mais elle le quitte au seuil de chaque hiver puis lui donne la clef lui permettant de la retrouver à l ́aurore de chaque automne. Quel est le secret de cette femme qui la pousse à fuir un bonheur parfait et à laisser cet homme en proie au vertige de l ́abandon et de la solitude sans jamais lui avouer la blessure qui la ronge ? Ce roman décrit la relation pendant deux décennies entre Standor et Solveig, femme pointillant la vie du photographe amoureux d ́un fantôme qu ́il ne parvient pas à fixer dans sa vie. Standor Moire va tout au long de cette histoire tenter de retenir celle qui disparaissait et réapparaissait au gré de ses automnes. Le récit narre la fuite de cette femme, de ses retours grâce aux pellicules photographiques de Standor et de l ́enquête de l ́homme pour comprendre comment le nombril de sa promise n ́avait pas d ́autre alternative que de se donner rendez-vous sur ces vieux films argentiques.

Mon avis se fait en 2 parties bien distinctes.

La première concerne le récit. Au début je suis assez emballée, l'histoire me plaît, bien qu'elle soit assez fantasque. Malheureusement, je ne m'attache pas vraiment aux personnages de Standor et Solweig. Standor est trop spécial et je n'accroche pas avec Solweig.

Au fur et à mesure de mon avancement, mon engouement se perd. Je pense que cela est dû, d'une part à la tournure que prend le récit ainsi qu'à l'écriture dont je vous parle dans ma seconde partie de chronique.

La plume de l'auteur est, selon moi, lourde et encombrée. Je trouve le style un peu pompeux et   j'y trouve beaucoup de circonvolutions. C'est une écriture qui ne me convient pas mais qui, j'en suis sûre, plaira à beaucoup d'autres lecteurs.

Ce qui me "dérange", finalement, c'est l'inadéquation entre l'histoire, qui se veut légère, et l'écriture qui ne l'est pas vraiment. Pour ma part, c'était un rendez-vous manqué.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝓥𝓲𝓻𝓰𝓲𝓷𝓲𝓮 𝓖𝓻𝓲𝓶𝓪𝓵𝓭𝓲 - 𝓔𝓽 𝓺𝓾𝓮 𝓷𝓮 𝓭𝓾𝓻𝓮𝓷𝓽 𝓵𝓮𝓼 𝓶𝓸𝓶𝓮𝓷𝓽𝓼 𝓭𝓸𝓾𝔁

{Parution le 17 juin 2020} 

Je remercie les Éditions Fayard pour cet envoi.

Deux femmes, deux destins de mamans. 

La première voit ses 2 grands enfants vivrent loin d'elle. Il ne lui reste qu'Édouard, le chien, pour lui tenir compagnie. 

La seconde accouche prématurément de sa petite fille qui passera du temps au service de neoménat. 

L'une devient maman à la retraite (est-ce vraiment possible? ) , la seconde devient maman à temps plein d'une chose minuscule qui prend toute la place. 

Chacune vit son séisme. 

C'est un rendez-vous annuel, une bulle de douceur, de bonheur... Mon rendez-vous avec le roman de Virginie Grimaldi est sacré. Et ça passe toujours vite... En le fermant, j'espère déjà avoir le suivant dans les mains. Mais la patience est mère de toutes les vertus.

Je vous l'ai déjà dit, les sujets tournant autour de la maternité ne sont pas mes favoris, tout dépend de la manière dont c'est traité et abordé mais avec Madame Grimaldi, je sais que je n'ai pas besoin de m'inquiéter.

Quel plaisir d'ouvrir ce livre à l'écriture fluide et aérée. Le récit me plaît, les personnages sont attachants, tout est réuni pour passer un bon moment. Je retrouve aussi l'humour de l'auteur, quoique un peu moins présent dans ce dernier livre.  Malgré tout, j'ai ri et j'ai aussi eu les larmes aux yeux. Les petits SMS d'une maman en détresse m'ont beaucoup fait rire ! 

C'est écrit avec pudeur, tendresse et sensibilité. C'est rempli d'amour et d'abnégation. C'est doux et émouvant. C'est écrit avec tellement de justesse et pour comprendre pourquoi, lisez les remerciements. 

Ce bouquin se lit comme on mange une tablette de chocolat ; en quelques bouchées de plaisir. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝘼𝙣𝙣𝙖𝙗𝙚𝙡 𝘼𝙗𝙗𝙨 - 𝙁𝙧𝙞𝙚𝙙𝙖, 𝙡𝙖 𝙫é𝙧𝙞𝙩𝙖𝙗𝙡𝙚 𝙝𝙞𝙨𝙩𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝙇𝙖𝙙𝙮 𝘾𝙝𝙖𝙩𝙩𝙚𝙧𝙡𝙚𝙮

{Parution le 28 mai 2020} 

Je remercie Agnès et les Éditions Hervé Chopin pour cet envoi. 

Avez-vous vu cette couverture ? Comment y résister ? Moi je n'ai pas pu.

Je me lance avec hâte dans cette biographie romancée. 1907, Frieda est mariée et mère de 3 enfants. Après sa rencontre avec un homme, sous le conseil de sa sœur,  elle se rend compte qu'elle est une femme libre. Cet homme l'exhorte à éradiquer le patriarcat. Frieda est une femme du futur ; la femme doit être mise en avant et la monogamie est à proscrire. Frieda en fait un mantra. C'est une révolution.

En 1912, après plusieurs liaisons, Frieda quitte son mari et ses enfants pour un jeune écrivain qu'elle appelle Lorenzo.

En ouvrant ce livre, je découvre Frieda et son histoire. C'est un récit intense que je lis à grande vitesse. J'aime beaucoup me retrouver au 20e siècle avec ses convenances et ses nombreuses règles de bonne conduite ou le moindre écart pousse la population à crier au scandale. 

J'aime beaucoup Frieda et j'éprouve de l'empathie pour cette femme malheureuse que son mari ne regarde pas ou peu. Un homme passionné uniquement par l'étymologie des mots et pour qui le reste du monde importe peu, un homme pour qui la femme a une place inférieure à l'homme, un homme rigide qui ne peut se laisse vivre. C'est en prenant un amant que Frieda se trouve accomplie. 

A travers ce livre je découvre donc une femme qui vit hors de son temps, une femme captivante, passionnante. 

Je déplore néanmoins quelques longueurs à la fin du récit mais il reste envoûtant.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee