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mardi 15 septembre 2020

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{ Parution le 16 mars 2020}

Je remercie les ร‰ditions Albin Michel pour cet envoi. 

En fait, j’ai pris ร  la lettre le souhait d’un de vos anciens chefs d’Etat, le comรฉdien Ronald Reagan. Le 21 septembre 1987, lors de la 42e assemblรฉe gรฉnรฉrale des Nations unies, il a dรฉclarรฉ ร  la tribune :

« Avec les antagonismes du moment, nous oublions l’humanitรฉ. Peut-รชtre avons-nous besoin d’un danger universel extรฉrieur afin de pouvoir mettre ce lien en lumiรจre. J’ai parfois pensรฉ ร  quel point les diffรฉrences s’รฉvanouiraient rapidement, si nous avions affaire ร  une menace รฉtrangรจre ร  la Terre ».

Embarquez dans ce conte philosophique, actuel plus que jamais, aux cรดtรฉs de Lucas, sans-abri, qui, le 17 mars 2020, se retrouvera confinรฉ dans une maison abandonnรฉe avec ce qui ressemble ร  son premier amour. Imposture ou manipulation ? Qui est rรฉellement cette femme ?

Etrange, fut mon premier sentiment. N’y voyez rien de nรฉgatif, loin de lร . J’aime beaucoup.

Ce livre me permet de voir la pandรฉmie et le confinement autrement, de pousser ma rรฉflexion. Je sors de ma zone de confort.

Je n’aurais pas voulu que ce conte soit plus long ou mรชme plus court. 170 pages, c’est ce qu’il fallait.

Je suis agrรฉablement surprise par la chute ! Elle me plaรฎt vraiment, l’auteur a visรฉ juste.

Au dรฉpart un peu sceptique d’arriver dans un roman axรฉ pandรฉmie et confinement, je ressors de ma lecture ravie. Il se lit en une fois, sans temps mort.

Je vous conseille ce livre, j’ai passรฉ un agrรฉable moment parfois surrรฉaliste !

ร€ bientรดt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee 

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