Elsa Carat - Pour mieux compter les vagues

Aujourd'hui je vous parle de ce petit roman surprenant.

Août 2003, un événement tragique met tout le village breton de Garroc-Sur-Mer en émoi.

Alors que Justine fuit sa région natale, Côme plaque tout pour s'y installer. Il devient tailleur de pierre et se réfugie dans une certaine solitude.

Seize ans plus tard, un roman attire son attention dans la librairie du coin. Ecrit par Justine, il fait resurgir son passé douloureux..

En parallèle, Solène, aide à domicile, commence à travailler chez Yvonne. Elle y découvre le roman de Justine... à la poubelle. Le livre semble avoir profondément bouleversé la vieille dame. Intriguée, Solène entame sa lecture et ne tarde pas à faire le rapprochement entre les personnages fictifs et Yvonne et Côme, dont elle a fait la rencontre récemment.

Elle est bien décidée à démêler fiction et réalité, vérités et mensonges.

Que s'est-il passé ce fameux été 2003 ?

Peut-on se reconstruire sur un sentiment de culpabilité et des non-dits ?

J'ai aimé retrouver l'écriture de l'auteure même si je trouve le style totalement différent de son roman "La bulle de Jade".

J'aime la manière dont l'auteure a mis en page son roman. Il est scindé en 3 parties ;

- La narration de Côme

- La narration de Solène

- Les extraits du livre de Justine

Tout est bien orchestré et bien ficelé sans fausse note. Même si je trouve l'intrigue surprenante ( je n'avais pas lu le résumé), j'ai trouvé certaines choses un peu prévisibles mais rien de rédhibitoire.

J'ai trouvé les personnages attachants et c'était un plaisir de les suivre. J'ai adoré l'humour de Solène. J'ai également aimé lire un roman dans le roman et j'ai aimé tous ces flashbacks.

Ce roman se lit à toute vitesse, j'ai eu un peu de mal à me lâcher.

Je vous le conseille tout simplement !

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee 

Clarisse Sabard - La vie a plus d'imagination que nous

Je remercie les Éditions Lilly Charleston pour l'envoi de ce roman.

Dans ce roman vous retrouverez Léna et sa drôle de famille durant la période de Noël.

Léna apprécie enfin cette période qui, pourtant, sera bien mouvementée. Entre sa rupture avec Clément et son papa qui a un comportement bizarre, elle aura son lot d'émotions.

Dans le premier roman des aventures de Léna, je l'avais trouvée attachiante. Dans ce second tome, je n'ai pas ce sentiment. Je la trouve juste attachante et drôle. Je l'aime vraiment bien cette Susan, oups, Léna (comprendra qui pourra).

C'est toujours assez léger et un peu prévisible (quoique moins que le premier tome) mais c'est une lecture de saison et qui tombe bien. Je me suis sentie transportée à la montagne prête à chausser les skis. 

J'ai quand même eu quelques surprises et je trouve l'écriture de l'auteure plus affûtée dans ce roman que dans le premier (c'est toujours mieux dans ce sens). 

Ce livre nous a valu un magnifique fou rire aussi avec chéri. Je dois dire que certaines expressions m'ont bien fait rire mais une en particulier nous a fait nous bidonner : Alors lui, quand les andouilles voleront, il sera chef d'escadrille. 

Tout ça pour vous dire que les touches d'humour et de situations rocambolesques sont bien présentes, et ça me plaît.

C'est mignon, léger, de saison, parfois un peu cliché mais pas dérangeant. Je vous conseille cette lecture qui tombe à pique pendant les fêtes, ça se lit sans faim. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

ℂ𝕝𝕒𝕣𝕚𝕤𝕤𝕖 𝕊𝕒𝕓𝕒𝕣𝕕 - 𝕃𝕒 𝕧𝕚𝕖 𝕖𝕤𝕥 𝕓𝕖𝕝𝕝𝕖 𝕖𝕥 𝕕𝕣ô𝕝𝕖 à 𝕝𝕒 𝕗𝕠𝕚𝕤

Un livre gagné il y a déjà plusieurs mois et que j'avais gardé pour cette période. C'est le dernier bouquin de mon challenge perso. 

Depuis le décès de son grand-père lorsqu'elle était enfant, Léna n'aime plus Noël. Mais cette année, elle est convoquée chez sa mère avec son frère Tom et Violette, la fille de ce dernier dans un village des Alpes de Haute-Provence. Seulement voilà, la maman de Léna n'est pas là et la jeune femme risque de se retrouver confrontées à certains secrets bien gardés et de retrouver certaines personnes qui ont marqué sa jeunesse et son cœur. 

Lena est notre narratrice. Elle est attachiante (oui, vous lisez bien). On s'y attache facilement, néanmoins elle a le don de m'énerver avec sa phobie de Noël et son côté rabat-joie.

C'est une romance de Noël, un peu kitsch mais qui passe bien en cette période. 

Il n'y a pas de réel suspense et c'est un peu prévisible mais c'est léger et fluide. Ça se lit facilement. 

Je suis prête pour commencer 𝔏𝔞 𝔳𝔦𝔢 𝔢𝔰𝔱 𝔟𝔢𝔩𝔩𝔢 𝔢𝔱 𝔡𝔯ô𝔩𝔢 à 𝔩𝔞 𝔣𝔬𝔦𝔰 de la même auteure. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

Le Cri - Nicolas Beuglet

Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l'aube d'une nuit glaciale, le corps d'un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre. 

Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l'hôpital semble si peu à l'aise avec l'identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ? 

Pour Sarah, c'est le début d'une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l'île de l'Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice. 

Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d'un journaliste d'investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort. 

Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !

On peut dire que ce livre participe déjà au dépoussiérage de la PAL vu qu'il y était depuis plus d'un an. C'est aussi le 7e livre (sur 8) de mon challenge perso ! 

J'appréhendais la lecture ! Vous m'avez mis la pression car vos avis était dans la globalité positifs. 

Je l'ai dévoré mais aussi paradoxal que cela puisse paraître... Je suis un peu mitigée. 

Je commence le livre et je suis projetée dans l'intrigue dès le début. Le suspense me happe d'entrée de jeu. 

Je trouve le récit époustouflant et envoûtant. Tout s'enchaîne rapidement et moi je suis essoufflée par ce rythme effréné. 

Et puis, alors que je pense foncer comme dans un TGV en arrivant dans les 150 dernières pages, le soufflet retombe. La fin me paraît longue, trop longue, tirée en longueur même et les informations scientifiques me paraissent lourdes. 

Cela n'empêche, je rajoute le second tome dans la Wishlist, je laisserai sa chance à l'auteur parce que, clairement, vu les premiers pages de ce thriller, il y a du potentiel et du talent. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

𝕶𝖆𝖗𝖎𝖓𝖊 𝕲𝖎𝖊𝖇𝖊𝖑 - 𝕮𝖊 𝖖𝖚𝖊 𝖙𝖚 𝖆𝖘 𝖋𝖆𝖎𝖙 𝖉𝖊 𝖒𝖔𝖎

Je remercie les Éditions Belfond pour l'envoi de ce bouquin.

Aujourd'hui je vous parle du dernier livre de Karine Giebel, une auteure que j'apprécie énormément !

L'auteure nous plonge dans un double interrogatoire ; d'un côté celui du Commandant Richard Ménainville et de l'autre celui de son lieutenant Laëtitia Graminski. Deux êtres liés par une passion dévorante, dérangeante et dangereuse. Qui a pu les mener à l'irréparable. Un interrogatoire qui se déroule en quelques heures et qui tient son lecteur en haleine. Que s'est-il véritablement passé entre eux ? 

Que dire de ce dernier thriller ? 𝕄𝔸𝔾𝕀𝕊𝕋ℝ𝔸𝕃

L'auteure a le don de mettre le doute dans l'esprit de son lecteur jusqu'aux derniers chapitres. Et ce dernier opus n'échappe pas à la règle.

L'originalité de ce livre ? Une narration basée sur un interrogatoire en alternance entre les 2 protagonistes.

Le récit est prenant et le suspense est haletant. 

C'est violent et passionné. 

L'intrigue est cohérente et sans fausse note, comme d'habitude. 

Dans ma tête, tout est en désaccord ! Que penser de Laëtitia et de Richard? Tout se mélange... Et j'en viens à me demander ; et moi, qui suis-je ? Cette histoire provoque le malaise chez son lecteur. 

Au terme de ce livre je suis à bout de souffle, je n'ai plus de mots. 

Ce que Karine Giebel a fait de moi ? Une lectrice complètement dépendante. Qui attend maintenant son prochain livre. 

Encore une fois l'auteure a parfaitement rempli sa mission. 

Magistral je vous disez, excellent et remarquable même ! 

Chers lecteurs, je vous conseille cette lecture, venez vous perdre dans les méandres de l'esprit tortueux de Karine Giebel. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

  

Gisèle Flachs - Sous terre pour survivre

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Gisèle Flachs -  Sous terre pour survivre 

Il y a quelques semaines, je suis tombée sur le témoignage de Gisèle Flachs sur RTL TVi qui a survécu à la Seconde Guerre Mondiale. Elle avait 4 ans lorsque sa maman a été emmenée par les allemands. Elle a réussi à se cacher et à survivre durant toute la guerre. 

A 84 ans, elle décide de témoigner et de nous partager ces horribles années. 

En voyant Gisèle à la télé, j'ai été émue, bouleversée et complètement chamboulée. 

Je me suis donc procuré son livre. J'étais choquée et en colère en lisant ce témoignage. On connaît la violence qu'il y a eu durant cette guerre mais chaque témoignage est différent. 

Gisèle est une femme courageuse et la manière dont elle a affronté cette guerre est incroyable. 

Merci à elle pour ce témoignage poignant. 

Je porte en moi tellement de restes de mon passé que les cicatrices ne guériront jamais. Cette vision me poursuit. Je ressens toute la tristesse du drame humain. 

Cécile Hennerolles - Dites-moi des choses tendres

Je remercie les Éditions Eyrolles pour l'envoi de ce roman. 

Parlez-moi d'amour

Redites-moi des choses tendres

Votre beau discours

Mon cœur n'est pas las de l'entendre

Pourvu que toujours

Vous répétiez ces mots suprêmes

Un petit roman au titre tout doux que j'avais hâte de découvrir. 

J'aime le concept du livre où nous rencontrons toute une palette de personnages certains attachants, d'autres moins, où aucun nom (ou presque) n'est cité. Le livre laisse place à l'imagination. Les histoires s'enlacent , se mélangent, s'entremêlent. 

Cet "anonymat" peut pousser le lecteur au doute en changeant de chapitre mais rien de rédhibitoire. 

C'est un roman qui parle d'amour et de "désamour". L'amour à tous les âges, sous toutes les formes. J'apprécie la plume de l'auteure qui décrit avec sensibilité et exactitude les sentiments. L'humour y est parsemé çà et là d'une jolie manière. 

Je suis touchée, émue et parfois triste au cours de ma lecture. J'ai le cœur serré et la gorge nouée. 

Je me promène avec délectation dans cette balade et c'est pour cette raison, chers lecteurs que je vous conseille cette lecture. 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee 

Jack Jakoli - La Catabase

Je remercie l'auteur et les Éditions IFS pour ce livre.

La catabase (du grec ancien κατάϐασις / katábasis, « descente, action de descendre ») est un motif récurrent des épopées grecques, traitant de la descente du héros dans le monde souterrain, les Enfers. C'est l'une des épreuves qualificatives les plus décisives de l'initiation et de la formation du héros épique.

Rentrez dans l'univers sombre de la Red Room et du DarkNet en ouvrant ce livre.

On commence ce livre avec un avertissement de l'auteur ; enquêteur au sein de la police belge, l'histoire est tirée de faits réels. Je ferme ce livre complètement chamboulée et retournée. Je me pose des questions sur la nature humaine... Jusqu'où l'homme est-il capable d'aller ?

Ce livre est un uppercut ! 

>> La violence humaine inouïe 

>> Un univers carcéral méprisé et méprisable 

>> Une justice crapuleuse

Un mélange détonant qui m'a fait passer un moment décoiffant, angoissant et décapant. Autant de choses qui en font un thriller noir efficace qui m'a filé des frissons. 

L'auteur nous plonge dans un univers qu'il connaît bien et qu'il manie avec une main de maître. 

Je ressens mon besoin d'urgence en lisant ce livre. J'arrive au dernier chapitre à bout de souffle. L'intrigue est cohérente et parfaitement ficelée et le thriller est aéré et fluide. L'écriture est sans fioritures, l'auteur va droit au but, il ne nous ménage pas. 

L'auteur a, selon moi, réussi son pari ; il m'a retourné le cerveau. Et je suis toujours en train d'essayer de démêler le vrai du faux... 

Chers lecteurs, je vous conseille ce page-turner, vous n'en ressortirez pas indemne, comme moi ! 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

 

Djustinee 

Thomas H. Cook - Esclaves de la haute couture

Je remercie les Éditions Points pour l'envoi de ce thriller. 

Un meurtre sauvage a été commis, celui d'Hannah la cheffe d'un atelier de couture. Le corps n'étant pas réclamé par la famille, la patronne d'Hannah engage un détective privé, Franck, afin de retrouver le famille de la défunte. Il se pourrait que l'enquête emmène Franck vers un terrible secret. 

Le thriller nous projette dans une enquête qui débute dans les années 30 jusqu'aux années 70.

L'enquête est prenante et captivante. Je trouve le récit original ; nous débutons par un meurtre et nous retrouvons dans une enquête pour retrouver la famille de la défunte. Je suis séduite par Franck et même par Farouk, son associé. J'apprécie les personnages et j'aime les suivre. 

L'enquête et les faits sont cohérents. Je n'ai pas trouvé de fausses notes, tout est bien ficelé et tient la route. 

Les chapitres sont courts et aérés, la lecture se fait facilement. Je n'ai eu aucun mal à entrer dans le bouquin. 

La fin est totalement saisissante ! Je suis bluffée par la tournure que le thriller a prise et je suis conquise par ce livre ! 

Un petit bémol, la vie privée de Frank aurait peut-être dû être un peu plus exploitée. 

Bref, je vous conseille ce thriller ! 

Un petit mot sur ce bouquin : il s'agit en fait d'une réédition. Le livre est sortir en 1990 sous le titre Haute couture et basses besognes. 

A bientôt pour de nouvelles aventures, 

Djustinee 

Terry Hayes – Je suis Pilgrim

 

𝘜𝘯𝘦 𝘫𝘦𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦 𝘢𝘴𝘴𝘢𝘴𝘴𝘪𝘯é𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯 𝘩ô𝘵𝘦𝘭 𝘴𝘪𝘯𝘪𝘴𝘵𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘔𝘢𝘯𝘩𝘢𝘵𝘵𝘢𝘯. 𝘜𝘯 𝘻𝘰𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘴𝘵𝘦, 𝘱è𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘮𝘪𝘭𝘭𝘦, 𝘥é𝘤𝘢𝘱𝘪𝘵é 𝘦𝘯 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘤 𝘴𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘭𝘦𝘪𝘭 𝘥'𝘈𝘳𝘢𝘣𝘪𝘦 𝘚𝘢𝘰𝘶𝘥𝘪𝘵𝘦. 𝘓𝘦 𝘥𝘪𝘳𝘦𝘤𝘵𝘦𝘶𝘳 𝘢𝘥𝘫𝘰𝘪𝘯𝘵 𝘥'𝘶𝘯 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘪𝘵𝘶𝘵 𝘮é𝘥𝘪𝘤𝘢𝘭 é𝘯𝘶𝘤𝘭éé 𝘦𝘯 𝘚𝘺𝘳𝘪𝘦.

𝘜𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘭𝘰𝘵 𝘷𝘪𝘴𝘢𝘯𝘵 à 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘵𝘵𝘳𝘦 𝘶𝘯 𝘦𝘧𝘧𝘳𝘰𝘺𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘤𝘳𝘪𝘮𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘭'𝘩𝘶𝘮𝘢𝘯𝘪𝘵é. 𝘌𝘵 𝘦𝘯 𝘧𝘪𝘭 𝘳𝘰𝘶𝘨𝘦, 𝘳𝘦𝘭𝘪𝘢𝘯𝘵 𝘤𝘦𝘴 é𝘷é𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴, 𝘶𝘯 𝘥é𝘯𝘰𝘮𝘮é 𝘗𝘪𝘭𝘨𝘳𝘪𝘮.

𝘗𝘪𝘭𝘨𝘳𝘪𝘮 𝘯'𝘦𝘹𝘪𝘴𝘵𝘦 𝘱𝘢𝘴 𝘰𝘧𝘧𝘪𝘤𝘪𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵.

𝘚𝘰𝘶𝘴 𝘤𝘦 𝘯𝘰𝘮 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘥𝘦 𝘴𝘦 𝘤𝘢𝘤𝘩𝘦 𝘶𝘯 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘲𝘶𝘪, 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘧𝘰𝘪𝘴, 𝘢 𝘥𝘪𝘳𝘪𝘨é 𝘶𝘯𝘦 𝘶𝘯𝘪𝘵é 𝘥'é𝘭𝘪𝘵𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘳𝘷𝘪𝘤𝘦𝘴 𝘴𝘦𝘤𝘳𝘦𝘵𝘴 𝘦𝘵 𝘲𝘶𝘪, 𝘢𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘴𝘦 𝘳𝘦𝘵𝘪𝘳𝘦𝘳 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭'𝘢𝘯𝘰𝘯𝘺𝘮𝘢𝘵 𝘭𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘵𝘰𝘵𝘢𝘭, 𝘢 é𝘤𝘳𝘪𝘵 𝘶𝘯 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘳é𝘧é𝘳𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘤𝘳𝘪𝘮𝘪𝘯𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦 𝘦𝘵 𝘭𝘢 𝘮é𝘥𝘦𝘤𝘪𝘯𝘦 𝘭é𝘨𝘢𝘭𝘦.

𝘜𝘯 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘳𝘢𝘵𝘵𝘳𝘢𝘱é 𝘱𝘢𝘳 𝘴𝘰𝘯 𝘱𝘢𝘴𝘴é 𝘥'𝘢𝘨𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘦𝘤𝘳𝘦𝘵.

𝘜𝘯 𝘵𝘩𝘳𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘥'𝘦𝘴𝘱𝘪𝘰𝘯𝘯𝘢𝘨𝘦 𝘦𝘹𝘤𝘦𝘱𝘵𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭, 𝘮é𝘭𝘢𝘯𝘨𝘦 𝘥𝘦 𝘏𝘰𝘮𝘦𝘭𝘢𝘯𝘥 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘑𝘢𝘴𝘰𝘯 𝘉𝘰𝘶𝘳𝘯𝘦.

Par où commencer ? Je vais annoncer la couleur … c’est une déception ! Une grosse déception… J’attendais beaucoup de cette lecture.

 

Aucun moyen de rentrer dans le livre, à aucun moment dans les 900 pages, je me suis dit, « c’est parti ».

 

Pourtant, je n’ai vu que du positif avant de le commencer et c’est en grattant un peu, que je me rends compte que les avis sont bien mitigés.

 

Dans la partie 1, j’ai clairement du mal à rentrer dans l’histoire mais je me dis qu’on pose le récit, les circonstances.

 

En continuant le thriller, je ne suis pas captivée ni concentrée. Je n’ai pas envie de savoir ce qu’il va se passer mais je laisse une chance à ce thriller qui en fait, pour moi n’en est pas un.

 

Le quatrième de couverture parle d’un thriller d’espionnage exceptionnel. Pour moi, nous sommes uniquement dans un roman d’espionnage. Je ne ressens aucune excitation ni aucun suspense en lisant ce livre. C’est trop long et plat. La seule chose qui m’intéresse, c’est l’histoire de Ben, rescapé des attentats du 11 septembre. Malheureusement, ces passages sont minimes…

 

J’ai également l’impression que, pour arriver à 900 pages, il a fallu broder. C’était trop, beaucoup trop.

 

Vous l’aurez compris, chers lecteurs, je n’ai absolument pas apprécié cette lecture.

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques, 

Djustinee