𝓥𝓲𝓬𝓽𝓸𝓻𝓲𝓪 𝓗𝓲𝓼𝓵𝓸𝓹 ~ 𝓒𝓮𝓾𝔁 𝓺𝓾'𝓸𝓷 𝓪𝓲𝓶𝓮

{parution le 10 octobre 2019 aux éditions Les Escales}

Je vous laisse la quatrième de couverture :

"Athènes, milieu des années 1940. Récemment libérée de l'occupation allemande, la Grèce fait face à de violentes tensions internes. Confrontée aux injustices qui touchent ses proches, la jeune Themis décide de s'engager auprès des communistes et se révèle prête à tout, même à donner sa vie, au nom de la liberté. Arrêtée et envoyée sur l'île de Makronissos, véritable prison à ciel ouvert, Themis rencontre une autre femme, militante tout comme elle, avec qui elle noue une étroite amitié. Lorsque cette dernière est condamnée à mort, Themis prend une décision qui la hantera pendant des années.

Au crépuscule de sa vie, elle lève enfin le voile sur ce passé tourmenté,

consciente qu'il faut parfois rouvrir certaines blessures pour guérir. "

Une saga historique familiale de Victoria Hislop ? Il était grand grand temps que je la sorte de ma pile à lire... Pourtant fan de l'auteure, il me restait quand même un de ses romans qui attendait sagement dans ma bibliothèque. Je fais parfois durer mon plaisir.

Quoi de mieux qu'un beau point de vue au Portugal pour commencer cette saga grecque ? (oui bon niveau décor, on fait ce qu'on peut et c'est parfois compliqué d'adapter le pays)

C'est toujours avec un peu d'appréhension que je commence un roman de l'auteure car j'attends toujours le même niveau que L'île des Oubliés qui est, je le rappelle, une de mes meilleures lectures (top 3).

Je m'attache directement à Themis et son récit et j'aime beaucoup évoluer avec elle, même si je déplore quelques longueurs au milieu du récit.

Je retrouve la plume affûtée de l'auteure et je passe un très bon moment.

Je vous conseille cette lecture.

*𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘶 𝘥éç𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘮𝘢 𝘱𝘩𝘰𝘵𝘰 𝘤𝘢𝘳 𝘫'𝘢𝘪 𝘲𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘮ê𝘮𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘵 17 𝘬𝘮 à 𝘱𝘪𝘦𝘥 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘥𝘰𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘱é𝘱𝘪𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘦𝘯 𝘳𝘦𝘯𝘵𝘳𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘪𝘳 𝘫𝘦 𝘮𝘦 𝘳𝘦𝘯𝘥𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘵𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘳é𝘨𝘭𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘥𝘶 𝘵é𝘭é𝘱𝘩𝘰𝘯𝘦 𝘢𝘷𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨é. 𝘑𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘮𝘦𝘵𝘴 𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘩𝘰𝘵𝘰 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘳𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘦 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘦 à 𝘍𝘦𝘳𝘳𝘢𝘨𝘶𝘥𝘰 (𝘗𝘰𝘳𝘵𝘶𝘨𝘢𝘭 𝘥𝘰𝘯𝘤). 

A bientôt pour de nouvelles aventures livresques,

Djustinee